« J'ai tellement horreur des enterrements que, si je pouvais, je n'irais pas au mien. »
– Philippe Héraclès.
CHAPITRE UN.
William Shakespeare a dit : « La mort est une dette que chacun ne peut payer qu'une fois ». En réalité, je n'ai jamais compris cette citation. Ni aucune autre citation, d'ailleurs. Mais, aujourd'hui, la réalité fait que je commence à la comprendre. Enfin, je crois. Je ne suis pas d'accord avec Shakespeare. La mort n'est pas une dette. C'est quoi une dette, déjà ? Quelque chose qu'on doit à quelqu'un ? A qui doit-on la mort, alors ? Finalement, je ne comprends toujours rien. Je me pensais intelligente, pour une fois. Connaître des citations est incroyable. Sincèrement, les citations sont là pour rappeler à quel point notre monde est foutu. On naît, on vit, on meurt. Simple et efficace. C'est ce qui est arrivé à mes parents.
Mickaël Jake Wilson et Julia Laure Johnson Wilson sont morts. Julia Laure Johnson Wilson est morte à mes cinq ans. Elle était infirmière pour l'armée. Et un jour, un blessé s'est ramené avec une maladie contagieuse et cinquante personnes sont mortes de cette maladie. Une connerie dont je n'ai pas retenu le nom. Mickaël Jake Wilson est mort en Afghanistan, il était militaire. Lors d'une fusillade, il s'est pris une balle dans le crâne, et boum. Ils se sont rencontrés comme ça, mes parents. Mon père avait une côte cassée et ma mère l'a soigné. Il est mort il y a une semaine. Son enterrement est aujourd'hui.
Il y a une fille assise au fond. Elle a des cernes qui entourent ses yeux bleus, sa peau pâle est encore plus blanche que d'habitude et ses cheveux noirs sont coiffés habilement jusqu'au milieu de son dos. Elle porte une petite robe noire, simple, qui lui arrive aux genoux. Cette fille, c'est moi. Je devrais être devant. C'est quand même mon père. Mais je n'y suis pas allée car je suis effrayée. Effrayée de voir le corps inerte de mon père dans ce cercueil. Il était ma seule famille, maintenant, je suis seule. Orpheline. Ce mot m'horrifie. J'ai dix-neuf ans et je suis orpheline. Où vais-je aller ? Dans une famille d'accueil ? Hors de question. Je suis majeure, j'ai donc le droit de prendre soin de moi-même. Le problème ? Je n'ai pas d'argent. Rien.
L'armée est aussi présente, c'est la procédure. A chaque mort d'un militaire, il y a une énorme cérémonie où des gars habillés d'une sorte de costume bleu très foncé avec le drapeau des États-Unis accroché à celui-ci sont en ligne, les mains jointes derrière le dos et la tête relevée vers le ciel, en silence. Je me demande à quoi ils pensent, en ce moment. S'ils sont tristes pour mon père, ou s'ils n'en ont rien à faire. J'hésite, mais je pencherais pour la deuxième possibilité. Après tout, ce n'est pas eux qui sont morts, c'est mon père. J'observe ces hommes mais un seul retient mon regard en particulier. C'est Luke, le meilleur ami de mon père. Ou plutôt, l'ex-meilleur ami, non ? Non, je n'aime pas dire ça comme ça. C'est bel et bien le meilleur ami de mon père.
Ils se connaissent depuis des années – j'ai arrêté de compter – et je sais que Luke m'a toujours considéré comme la fille qu'il n'a jamais eu. Sa femme et lui, en fait. Sa femme, Lucie, ne peut pas avoir d'enfant, elle est stérile. Cette nouvelle l'a anéantie, et Luke aussi en a été brisé. Ils rêvaient d'avoir un enfant, mais je pense que c'est mieux de ne pas en avoir. Ce n'est pas méchant, je dis juste que s'ils avaient eu un enfant, Luke pouvant mourir à n'importe quel moment, l'enfant en aurait été détruit. Tout comme moi. Luke tourne discrètement le regard vers moi. Il sourit vraiment légèrement, me disant silencieusement de tenir le coup.
Tenir le coup. Je ne sais pas si j'en suis capable. J'ai envie d'étrangler chaque personne présente. Ces gens qui sont censés être de ma « famille » mais qui ne sont en réalité que des inconnus pour moi. Ma famille, c'est ma mère, mon père, Luke et Lucie et c'est tout. Les autres, on ne m'en a jamais parlé. Mon père et ma mère ont eu beaucoup d'ennuis avec eux, jusqu'au moment où ils ont arrêté tout contact. Je n'ai pas à me plaindre ; ils n'ont pas l'air sympathiques. Aucune larme, rien. Juste la tête baissée du genre « essaye de pleurer, essaye d'être triste, et après je m'en vais. ». La haine m'a toujours aidé à retirer la douleur.
Oui, j'ai mal. Vraiment mal. Pas physiquement mais mentalement. J'ai pourtant l'impression qu'on me prend mon c½ur d'une main et qu'on le presse encore et encore, sans aucun but précis. J'ai aussi une boule à la gorge, signe que je ne vais pas tarder à pleurer. Mais j'ai assez pleuré comme ça. J'ai pleuré toute la semaine, hurlant sur mon sort, me demandant qu'est-ce que j'avais fait pour mériter ça. On m'a laissé tranquille pendant une semaine, mais Luke a raison ; après l'enterrement, je devrai faire mes valises et partir de chez moi. Je ne lui en ai pas demandé davantage. Il m'a aussi dit qu'ils allaient mettre la maison en vente. Et ça aussi, ça fait mal. La maison où j'ai vécu pendant dix-neuf longues années. La maison où pendant les cinq premières années, j'y ai vécu avec une mère et un père absents. La maison où pendant les quatorze années suivantes, j'y ai vécu avec Lucie et avec parfois un père absent qui reprenait sa place. On peut dire que Lucie m'a élevé comme si elle était ma mère. Je ne la remercierai jamais assez pour ça. On a tous besoin d'une mère.
Je sors de mes pensées quand j'entends mon prénom résonné dans l'église. Ou alors j'entends des voix, ou alors le prêtre attend que je prononce mon discours que je n'ai pas fait, ni préparé. Tout le monde s'est retourné vers moi, à part les militaires qui gardent leur place initiale. Les regards de tous ces gens me rendent mal à l'aise. Leurs regards me brûlent la peau et je touche deux fois mon visage, pour vérifier qu'il n'a pas brûlé, avant de me lever et de me diriger vers le prêtre. Je marche avec assurance en me rappelant de ne pas regarder en direction du cercueil. Je fixe un point sur le mur en face de moi, totalement impuissante. Le prêtre me fait un sourire. Il est vieux, très vieux. J'ai déjà vu des prêtres dans les films, mais je n'en ai jamais vu un jeune. A part dans la série 90210 Beverly Hills : Nouvelle Génération, où un futur prêtre d'une vingtaine d'années tombe amoureux d'Annie.
Je prends place derrière la balustrade. Un micro se tient devant moi, près à faire entendre ma voix dans toute l'église. Je jette un coup d'½il dans la salle ; Lucie pleure devant – c'est bien la seule – et Luke a cessé de regarder le plafond pour poser son attention sur moi. Il a les yeux rouges, mais il ne pleure pas. Question de fierté. Les autres, ils gardent une attitude complètement neutre. Je ferme les yeux et inspire lentement.
– Je m'appelle White Wilson, je commence. Si vous ne savez pas qui je suis, eh bien, je suis la fille de Mickaël Wilson, et si vous ne savez pas qui il est, alors je ne sais pas ce que vous faîtes ici.
L'ombre d'un sourire passe sur les lèvres de Luke alors que quelques têtes se baissent. Dans la honte, sûrement. La plupart des personnes assises connaissent simplement le statut de mon père. Enfin, l'ancien statut de mon père.
– Je n'avais pas prévu de parler, et franchement, je ne sais pas quoi dire. Mon père est mort, c'est tout. Je peux passer pour quelqu'un d'horrible à dire ça mais, que dire d'autre ?
Le silence est pesant dans l'immense pièce. Seule ma voix qui résonne est dominante, et ma respiration saccadée.
– J'aime mon père. J'aimais mon père, je me corrige. Il était comme un modèle pour moi, vous savez. Toujours près à servir n'importe qui dans n'importe quelles circonstances. Il avait un grand c½ur, il était un exemple pour nous tous. C'est toujours les bonnes personnes qui partent, mais lui – mon père, ma seule famille, mon dernier parent, ne méritait pas de mourir.
Les hommes de l'armée ont posé leurs yeux sur moi, et je suis étonnée de les voir faire. Ils n'ont pas le droit, normalement. C'est un manque de respect pour le défunt, mais je ne peux pas m'empêcher de les remercier d'un signe de tête. Ils ont perdu des êtres aimés, eux aussi. Ils me comprennent.
– Mon père n'était pas quelqu'un de très présent, je soupire. Mais il a toujours su garder sa place de père auprès de moi. Il me traitait comme si j'étais la personne la plus précieuse au monde.
Des flash-back de lui me portant en me berçant après la mort de ma mère, de lui m'appelant du camp de l'armée en me disant qu'il m'aime et qu'il arrive bientôt, des tas de flash-back qui ne resteront à jamais que des souvenirs.
– Je... (Ma voix se brise.) Je ne sais pas quoi faire. Je suis effrayée, et je ne devrais pas être effrayée. C'est pour les lâches. Alors, désolée d'être lâche, je ne peux pas faire autrement. Je suis désolée pour tout ce que j'ai fait subir à mon père, aussi.
Des souvenirs de moi faisant le mur pour aller à une soirée me revient en tête me faisant sourire. Certes, ce sont des petites erreurs, mais je sais que mon père détestait quand je lui mentais. C'était comme une trahison.
– Je t'aime, papa, je chuchote en direction du cercueil. Prends soin de maman.
Je repose mon regard sur les personnes assises devant moi. Lucie et Luke sourient discrètement. Les militaires me regardent avec compassion et le reste des personnes sont impassibles. Un rictus moqueur prend place sur mon visage. Je vais sûrement regretter ce que je vais dire, mais j'ai besoin de me défouler.
– Et vous ! Je crache à leur intention tandis qu'ils sursautent face à mon changement d'humeur. Vous n'avez jamais été là alors que vous êtes – censés – être de ma famille. Famille, ouais, c'est ça. Vous savez ce que vous êtes ? Je vais vous le dire, vous êtes – et que Dieu me pardonne d'utiliser ce langage – des putains d'hypocrites.
Des halètements se font entendre, des murmures de protestation, le prêtre qui prie pour que le bon Dieu me pardonne, les militaires qui haussent un sourcil, Lucie qui se retient de rire et Luke qui sourit fièrement. Mon père serait fier, lui aussi. Je le sais. Je descends devant la balustrade et marche, tête haute, sur le chemin qui mène à la porte d'entrée, et pour mon cas, à la porte de sortie. J'ouvre celle-ci, me retourne, j'adresse un signe de tête à l'armée, je murmure un dernier je t'aime à mon père et je sors. Parce que je suis trop lâche pour faire face à la vérité.
What if daddy was right ?
What if there's no forever ?
Would you kiss me goodnight ?
So that I could remember
La mélodie de Goodnight de Cher Lloyd résonne dans mes oreilles. J'ai toujours aimé cette chanson, et la situation fait que celle-ci est bien appropriée à ce moment précis.
Keep you frozen in time
Like they do in the pictures
And if I close my eyes
Would I still think of patience ?
Pas de batterie, pas de trompette, ni de guitare électrique. Seuls la guitare acoustique et les violons se font entendre. C'est reposant. Mon dos repose sur le banc qui se situe dans un parc où j'allais souvent avec ma mère avant qu'elle ne meurt. Pour garder des souvenirs d'elle, mon père m'y emmenait souvent. Dès qu'il avait du temps libre.
Stay with me
Don't disappear
To tell the truth
I need you here
J'ai marché pendant environ trente minutes avant de retrouver le parc. Je n'y avais pas été depuis un moment, vu que mon père était en Afghanistan, et je ne pouvais pas y aller seule, je n'y arrivais pas. Et me voilà, seule dans ce parc.
I'm afraid
Can barely breathe
I need your words to comfort me
Say goodnight
Je n'ai pas eu le courage d'aller au cimetière. Je n'ai pas eu le courage de lui dire adieu.
Would you say goodnight ?
Évidemment, je regrette, mais je ne pense pas que j'aurais aimé le voir descendre six pieds sous terre. Je n'aurais pas résisté et j'aurais pleuré. J'ai beaucoup trop pleuré, il faut que je me calme.
What if daddy was right ?
And I knew all the answers ?
They could give me the world
But that wouldn't matter
J'irai le voir au cimetière quand je serai seule, c'est la meilleure solution. On se sent mieux, quand on est seul. Personnellement, j'ai toujours été seule.
If the gates opened wide
And made you an angel
Through tears in my eyes
I'd save your seat at the table
Stay with me
Don't disappear
To tell the truth
I need you here
I'm afraid
Can barely breathe
I need your words to comfort me
Say goodnight
Je n'ai jamais vraiment eu d'amis. Ça ne m'intéresse pas, c'est mon choix. Je n'aime pas ressembler aux autres. Avoir une meilleure amie, un copain, des parents aimants, une belle voiture et une belle maison, se marier, avoir des enfants, des petits-enfants, et finir par mourir. Cette vie ne m'enchante pas. Je déteste la routine.
Would you say goodnight ?
Le violon prend place dans la musique avec la guitare acoustique, pendant quelques secondes. Je ferme les yeux, bercée par cette mélodie. Elle ne chante plus, mais la musique montre à quel point elle souffre. Finalement, elle reprend.
Stay with me
Don't disappear
To tell the truth
I need you here
I'm afraid
Can barely breathe
I need your words to comfort me
Say goodnight
A force d'écouter cette chanson, j'ai remarqué que quelques fois, sa voix se brisait, comme si elle se retenait de pleurer.
Would you say goodnight ?
La chanson s'arrête au moment où quelqu'un dévisse mon écouteur de mon oreille gauche, me faisant sursauter. Je tourne immédiatement la tête pour voir qui m'a fait ça, et je reconnais vite un visage familier. C'est Luke. Il est toujours habillé de son costume bleu foncé, avec le petit drapeau des États-Unis accroché sur la veste, à l'endroit où se trouve son c½ur. Luke montre une attitude sérieuse et dangereuse comme ça. Même s'il a sa veste, on peut voir qu'il est musclé et qu'il n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. C'est normal, il est militaire. Au fond, Luke est adorable, au grand c½ur et complètement amoureux de sa femme depuis dix ans. On l'appelle le Colonel Jones comme on appelait mon père le Colonel Wilson. Deux hommes importants.
Luke s'assied à côté de moi. Il pose ses coudes sur ses genoux et entrelace ses doigts. C'est le moment où on va parler sérieusement. De ce qui va m'arriver dans quelques instants.
– Comment tu vas ? Questionne-t-il.
– Tu veux vraiment que je te réponde ?
Il secoue la tête. C'est une question qu'on pose par pur réflexe, je sais. Mais je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'elle est idiote, cette question.
– Pourquoi tu n'es pas venue au cimetière ? Continue-t-il de questionner.
– Je ne m'en sentais pas capable.
– Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
– C'est juste que... (Je passe une main dans mes cheveux.) Je ne veux pas voir son cercueil descendre à je ne sais combien de mètres sous terre.
– Je comprends.
Et je le crois. Il peut comprendre parce que Luke a perdu beaucoup de personnes à qui il tenait. Des amis, de la famille,... La vie est injuste.
– Où est Lucie ? Je demande à mon tour.
– Elle est rentrée à la maison. (Il fronce les sourcils et pince ses lèvres.) Justement, il faut qu'on parle de quelques trucs.
C'est le moment, je pense. Mon ventre se noue. Comment et où je vais finir. Je n'ai pas d'argent, je ne peux pas et je ne veux pas vivre dans ma maison habituelle. Beaucoup trop de souvenirs, et je n'ai pas les moyens de payer la maison. Je suis dans la merde, vraiment.
– Tu sais, il y a une procédure quand on a un enfant, commence Luke. C'est de choisir les tuteurs de l'enfant au cas où il arriverait quelque chose aux parents. Et ils sont tous les deux...
– ...morts, je finis la phrase pour lui.
Il hoche la tête en accord avec moi.
– Qui ont-ils choisi ?
Cette fois, c'est ma gorge qui se noue dans l'attente de la réponse
– Nous.
Je fronces les sourcils dans l'incrédulité.
– Nous ?
– Lucie et moi.
Un flot de soulagement m'envahit. Je ne vais pas finir à la rue, ni dans une famille que je ne connais pas. Malgré ça, je me sens mal pour Lucie et Luke, je dois être un fardeau pour eux.
– Ça ne vous dérange pas ? Dis-je d'une petite voix.
– Nous déranger ? Cette question semble amuser Luke. Au contraire, tu sais très bien que tu es la bienvenue.
Les larmes emplissent mes yeux, et sans que je ne puisse les en empêcher, elles coulent le long de mes joues pour finir leur trajectoire au coin de mes lèvres. Sans que Luke ne s'y attende, je le prends dans mes bras. Il semble surpris quelques instants mais passe finalement ses bras autour de ma taille. Ça fait du bien, de savoir que je ne suis pas seule.
– Merci, merci, merci beaucoup, je ne cesse de répéter.
– De rien, White, c'est normal.
Quelques secondes passent avant qu'il s'écarte de moi et qu'il ne prenne la parole.
– Dis-moi, je pensais que tu pourrais aller à l'université.
– L'université ?
– Oui. A Princeton.
Princeton ? J'ai toujours rêvé d'aller à cette université. Depuis toute gamine. Je lisais des tas de livres où le sujet principal était cette fantastique université. Elle est dans l'État du New Jersey, à quelques minutes de chez Lucie et Luke. Ce serait vraiment simple. Je n'ai jamais pensé reprendre mes études après avoir eu mon BAC. C'est une université privée. Il faut beaucoup de boulot pour pouvoir y entrer. Je lui fais la remarque.
– Comment je pourrais y entrer ?
– Je m'en occupe, me rassure-t-il.
Je n'en doute pas. C'est une bonne idée, même une très bonne idée, pour reprendre ma vie à zéro. Recommencer à étudier, recevoir le titre de docteur honoris causa* et travailler. Juste, avoir une vie normale.
– Alors ? S'impatiente Luke.
Je tourne la tête vers lui. Mes larmes séchées sont remplacées par un grand sourire. Un vrai sourire.
– Je veux étudier à Princeton University.
* c'est un titre que seulement une demi-douzaine de personne reçoivent en une année. Par exemple en matière de science, musique, arts, lettres, droit,...
Voilà, le premier chapitre est enfin en ligne.
On rentre directement dans le vive du sujet. Commencer un chapitre par un enterrement n'est pas génial, je sais. En tout cas, j'espère qu'il vous plaît. Je suis assez anxieuse de vos réactions.
Cette fiction sera assez différente que DFOL. J'espère que vous allez apprécier l'histoire de White et Dylan. D'ailleurs, Dylan apparaîtra que dans le chapitre trois.
Les choses vont commencer doucement, donc c'est normal si Dylan n'est pas autant présent dans les chapitres.
Ensuite, j'espère que la musique vous plaît. C'est ma chanson préférée. Je m'excuse d'avance si je prends des musiques que j'ai déjà pris dans mon ancienne fiction. Ce n'est pas réellement de ma faute.
Pour finir, mes remerciements vont vers Laurine, ma correctrice et meilleure amie, qui prend la peine de corriger mes horribles fautes.
On se voit pour le chapitre deux !
See you later, cuties ! xoxo
Chloé. xx
citations-vounettes, Posté le lundi 12 janvier 2015 17:21
c'est super, je trouve que c'est mieux ecrit que ta premiere fiction, qui était geniale aussi, j'ai hate de lire la suite :)